Oh j'ai adoré joué à Wow... J'avoue que là aujourd'hui moins quand même ça fait 6 mois que j'ai arrêté et ça me manque pas des masses. Mais j'avais un persos, un guerrier Orc : Kultarad.
Et j'avais entamé un background pour le perso. Pour vous en exclu, le début du background, j'ai jamais finit de l'écrire ceci dit
CHRONOLOGIE RAPIDE DE KUL TARAD
605 – Naissance de Kul Tarad dans le camp d'internement Durnholde.
620 – Thrall parvient à libérer ses frères orc prisonnier du camp durnholde.
621 - Réaprend le gout de la vie.
622 – Kultarad sort de sa torpeur, et suis Thrall.
624 – Kultarad reste en renfort de garnison pendant la bataille du mont Hijal.
625 – Tarad participe a la construction d’Ogrimmar comme ouvrier.
627 – Rencontre avec Rexxar.
628 – Début de son entrainement de guerrier.
PROLOGUE
« Encore une nuit » A l’avant poste de son camp, caché à l’intérieur d’une petite cavité de la montagne, Kul Tarek surveillait les environs. Mais cette nuit son regard était perdu dans la lueur des flammes. La rage, visible dans ses yeux, semblait se consumer devant le feu. En ce moment même, ces frères de clan, étaient partis en mission de reconnaissance, sur les terres naine de Kaz Modan. Affrontant sans doute quelques factions isolées, leurs apportant les honneurs du chef.
« Les seuls combat que je mènes sont ceux de mon esprit pour contenir cette envie de partir loin de ce feux pour aider mes frères ! »Eblouies par les hautes flammes, Tarek aperçu un silhouette qui se rapprochait du feu. Plissant légèrement les yeux, il ne lui fallu qu’une fraction de seconde pour reconnaître les formes athlétique de Vaesha : la femme Orc tenait dans ses bras plusieurs bûches de bois destinées à réapprovisionner le feu de l’avant poste. Tandis qu’elle se déchargeait de sa cargaison, Elle remarqua que son compagnon était perdu dans ses pensées. Elle se plaça derrière lui, et posa sa main musclée sur une épaule de Tarek.
« - Ne devrais-tu pas te soucier d’avantage de ce qui se passe autour du camp, que de ce feu Tarek ? »
L’Orc assis devant le feu, tourna la tête en direction de Vaesha. Il garda le silence un instant.
« - Vae ! La guerre est commencée depuis des années, et je n’ai toujours pas participé à une seule bataille… Je ne suis bon qu’à surveiller les feux !
- Ton heure viendra Tarek… ».
« - mon heure » ?! Rugit Tarek. Tu portes notre enfant. Et moi, son père je ne suis d’aucune fierté pour lui. Je ne veux pas qu’il grandisse dans la honte d’un père gardien du feu ! » Il se retourna vers les flammes.
- Tarek… » Dit doucement Vaesha, observant son compagnon remettre des bûches dans le feu. L’agitation des braises envoya des centaines de petites étoiles incandescentes dans les airs.
« Nos ennemis connaîtrons ma colère ! »Depuis le lointain, les échos de combat parvinrent jusqu’aux oreilles de Tarek et Vaesha. Dans les montagnes de Kaz Modan résonnaient le fer des armes et les détonations des fusils nains. Dans l’avant poste, les rochers tremblaient autour des deux orcs : Tarek se leva d’un bond, vif comme l’éclair, il prit sa hache dans d’une main, et de l’autre empoignât Vaesha.
« - Il n’y a plus un instant, à perdre il faut prévenir le camp Vaesha ! Va prévenir les nôtres que l’ennemi approche. Nos frères se battent à l’heure qu’il est ! Ils sont tous proches ! Vite ! »
La femme Orc le regarda et acquiesça promptement. Elle se saisie d’une torche et courut aussi vite que lui permettait sa condition vers la base alliée.
Kul Tarek, lui, prit la direction du combat.
L’odeur du sang le guida rapidement sur les lieux. Il faisait face, à une centaine de mètres devant lui, le combat faisait rage. « Un convoi » nains : un char ennemi était escorté par poignée de guerriers. Les premiers fers avaient fait beaucoup de dégâts dans les deux camps… Les tirs de canon du char n’avait pas fait dans la demi mesure, les corps agonisants d’un éclaireur et d’un escorteur à demi enfouis sous les gravats le prouvait.
Les Orcs étaient en difficultés. Le tir des deux nains posté derrière le char, avaient fait de gros dégâts et les deux dernier Orcs encore debout ne viendraient pas à bout du guerrier nain qui les repoussait contre le flanc de la montagne tout en moulinant son double marteau au dessus de sa tête.
Les coups du nain redoublèrent, l’un des Orcs réussi à parer l’attaque, mais le plus blessé des deux reçue le marteau en plein visage, sa mâchoire vola en éclats. Il posa un genou à terre avant de s’effondrer définitivement.
Le puissant combattant à la peau verte ne semblait plus faire le poids face à son ennemi, son bras sanguinolent et brisé battait contre son genou, mais de son bras encore valide, il tenait fermement sa hache brisée par le combat, mais elle n’en restait pas moins une arme redoutable...
Sans réfléchir, Tarek sauta lourdement en bas de la falaise pour porter mains forte à son camarade grièvement blessé, dans la chute il se brisa une cheville. Sans ressentir la douleur, prit dans une rage sanguinaire, il rugit de toutes ses forces. Il rebondit sur ces jambes musclées et alla percuter violemment le char d’attaque. Le véhicule trembla sous le choc, le tireur de mortier perdit l’équilibre et s’écroula dans sa cabine. Les deux fusillers nains, surpris par la soudaine irruption de Tarek, restèrent pétrifiés l’espace d’un instant. Bien qu’habitué à assister à de rudes combats au sein de leur peuple, un tel déploiement de puissance de la part de cette créature à la peau verte les déstabilisa. Tarek profitant de ce court instant de répits, parvint à se retrouver à portée de tir du premier fusilier. Durant une poignée de secondes, les deux ennemis se fixèrent : Devant la stature imposante de l’Orc fou de haine et ses yeux injectés de sang, le nain esquissa un léger mouvement de recul. Tarek brandit sa hache et de ses deux mains fendit le fusiller de part en part, en poussant un hurlement bestial.
Et déjà il se repositionnait pour faire face au dernier fusiller.
Celui-ci avait reprit ses esprit bien avant de voir son compagnon d’arme périr, et avait déjà mis en joue son ennemi. La détonation résonna à travers toute la vallée de Kaz Modan, la balle fendit l’air et stoppa sa course dans l’épaule de l’Orc. Tarek grimaça sous la douleur cuisante que lui avait infligée la balle.
Au même moment, L’Orc au bras brisé, exalté par la soudaine apparition de Tarek, fit de nouveau face au nain. Campé sur ses deux jambes, le fier guerrier restait à bonne distance de l’Orc.
L’artilleur nain avait repris les commandes de son char, délaissant ainsi la tourelle de mortier. L’écho de l’enfer mécanique résonnait dans la tête des soldats à terre, le sol tremblait sous eux, la puissance des machines remises en route faisait vibrer le flanc rocailleux de la montagne.
Faisant face à Kul Tarek, le fusiller nain rechargeait son arme avec une incroyable dextérité, mais l’orc ne lui laissa pas le temps de finir la manœuvre, l’arme à la main, il fonça sur son adversaire avec la ferme intention de le terrasser. Le nain ne due son salut qu’à la vivacité de ses reflexes, il esquiva la lame de Kul Tarek d’une roulade et se redressa prestement pour revenir à la charge, se servant de son fusil comme d’une arme de poing. Vif comme l’éclair, Tarek bloqua le coup d’une main ferme, les doigts crispés sur son arme le fusiller s’arc bouta sur lui-même et arracha le fusil de la poigne de fer de Kul Tarek. En un éclair, il attaqua de nouveau, mais se heurtant à la puissance du colosse à la peau verte, il ne pue mener à bien son attaque. Saisissant l’occasion, de son autre main, Tarek décrivit un arc de cercle et trancha net le bras du fusiller qui s’écroula en criant sur le sol.
Les cris de douleurs de son camarade retentirent aux oreilles du nain luttant contre l’Orc au bras brisé. Celui-ci, profitant de la surprise du nain, tenta une attaque maladroite mais suffisante pour faire chanceler le nain. Déstabilisé, ce dernier recula vivement, tournant le dos au char qui s’avançait rapidement vers lui. Prenant la fuite en direction de l’engin, il réussi à se hisser sur la carapace blindée du char, le fusiller au bras tranché, quand à lui , s’accrocha tant bien que mal au monstre mécanique , et dans un ultime effort, au mépris de la douleur, il se hissa sur celui-ci.
Tarek se précipita alors vers son compagnon d’arme pour le soutenir de l’épaule .Les deux orcs regardèrent le char s’éloigner et emporter avec lui les nains dans une retraite peu glorieuse.
« Et ce n’est que le début, j’écraserais tout ces humains ! »